2008-06-03

Comment libérer le Cambodge de la domination vietnamienne

Nouvelles du Cambodge n° 0825-F

COMMENT LIBÉRER LE CAMBODGE DE LA DOMINATION VIETNAMIENNE ?
Khemara Jati
Montréal, Québec
Le 28 mai 2008

Nous publions ci-dessous un article très pertinent concernant la commercialisation des produits agricoles et plus particulièrement le riz au Cambodge.

Depuis Ang Doung et plus particulièrement durant le pouvoir colonial jusqu’à nos jours, la perception de la menace de la vietnamisation du Cambodge est de plus en plus évidente à tous les niveaux et plus particulièrement parmi les intellectuels. Il y a Noun Khoeun qui le consigne dans un livre maintenant réédité récemment.

Tout d’abord Noun Khoeun, basé sur les fausses données fournies par les livres d’histoires du Cambodge, écrits par des étrangers, n’a pas précisé comment se faisait la vietnamisation de la Cochinchine et aussi comment le pouvoir colonial a commencé la vietnamisation du Cambodge même. La Thèse de Khy Phanra soutenue en 1974, Université de la Sorbonne Nouvelle, Paris III : « La Communauté Vietnamienne au Cambodge à l’Epoque du Protectorat Français (1863 – 1953) » montre clairement que c’est le pouvoir colonial qui nous impose cette vietnamisation. D’autre part Louis Malleret a découvert le port Oc Eo (O Keo en Cambodgien) utilisé par le Fou Nan au début de l’ère chrétienne, grâce aux indications fournies par des Cambodgiens. Il a laissé un important document qui montre comment le pouvoir colonial a vietnamisé la Cochinchine, dans le texte de sa conférence faite le 17 décembre 1945 à Saigon « La Minorité Cambodgienne de Cochinchine ». Nous avons, d’autre part, des documents qui montrent que les habitants des provinces de Peam (Hatien) et de Moat Chrouk (Chau Doc) étaient majoritairement cambodgiennes à l’arrivée des Français.

Malleret, dans sa conférence indiquait que la vietnamisation se faisait en utilisant uniquement les langues française et vietnamienne dans l’administration et dans l’enseignement moderne primaire et secondaire. Les Cambodgiens ne pouvaient s’instruire que dans des écoles de pagode même « rénovées. Rappelons que durant la période coloniale, en Cochinchine, dès le début du XXè siècle, il y a une grande diffusion de livres et des journaux en langue vietnamienne ainsi que des traductions en vietnamien de nombreux livres de la culture française. Nous reviendrons plus longuement sur les raisons de ce favoritisme dans un autre article. Les longues relations entre la France et l’Annam, depuis le XVIIè siècle sont bien relatées dans le livre de Philippe Héduy « Histoire de l’Indochine, la Perle de l’Empire, 1624 – 1954 », ed. Albin Michel, Paris 1998. Le titre seul de ce livre montre que dans l’esprit de l’auteur l’Indochine c’est le Vietnam. Il n’est pas le seul.

D’autre part toute l’économie coloniale se concentre sur le développement du commerce par le port de Saigon. Le Cambodge était considéré, seulement, comme arrière pays de Saigon. Ainsi toute l’infrastructure routière est basée sur cette stratégie. Ainsi l’infrastructure routière au Cambodge était totalement négligée à l’exception de celle convergeant vers Saigon. Par exemple pour aller dans nos provinces du Nord-Est, il fallait passer par la Cochinchine.

De nos jours l’ensemble des Cambodgiens où qu’ils se trouvent sait que l’ennemi principal est le Vietnam. Certes il y a de nombreuses conférences politiques pour dénoncer cette vietnamisation du Cambodge, de plus en plus évidente, partout et à tous les niveaux. Il y a aussi de nombreux appel à « l’Unité Nationale » au Cambodge comme à l’étranger. Est-ce suffisant ? S’unir ne suppose-t-il pas d’abord la recherche préalable, des bases politiques, des bases culturelles dont les possibilités de s’instruire et de lire dans la langue du peuple jusqu’aux niveaux universitaires les plus élevés dans toutes les matières, des bases matérielles dont les moyens de communications, les productions agricoles et industrielles avec la facilité des possibilités des échanges culturels et commerciaux à l’intérieure du Cambodge ?

Comment un paysan illettré peut-il être solidaire d’un intellectuel bardé de diplômes pompeux acquis en langue étrangère ? Comment un paysan qui transporte sa récolte en charrette à bœuf par des routes défoncées, peut être solidaire de ceux qui circulent en Mercedes ? Comment concurrencer avec les Vietnamiens qui peuvent transporter des fraises cultivées à Dalat jusqu’à Phnom Penh en 24 heures ? Comment pouvons nous reprocher à nos paysans vivant à nos frontières de vendre leurs productions à nos voisins qui viennent les chercher directement chez eux, avec des camions circulant sur de très bonnes routes ? Comment être solidaire avec Phnom Penh, quand il faut acheter l’électricité, même au prix fort, chez nos voisins ? Nous ne citons que quelques exemples qui empêchent nos compatriotes d’entendre les appels à l’unité.

Beaucoup de nos compatriotes, surtout à l’étranger, espèrent toujours, contre toute évidence et malgré les multiples expériences acquises depuis plus de deux siècles, obtenir les aides des grandes puissances et pour certains même de nos voisins, le Vietnam et la Thailande, pour libérer le Cambodge de la domination vietnamienne !

Plus récemment, au moment de la signature des Accords de Paris du 23 octobre 1991, combien de Cambodgiens, y compris Sihanouk, Son Sann et Khieu Samphan entre autres, ont espéré que les grandes puissances et l’ONU vont donner au Cambodge, gratuitement (?) : l’Indépendance Nationale dans son intégrité territoriale et maritime, la Démocratie, le Développement Economique, la Prospérité et la Paix ? Le Japon qui a dépensé près de trois milliards de $US pour l’opération UNTAC sous la direction du Japonais Akashi, l’a-t-il fait pour l’amour du Cambodge ? Depuis quand, une grande puissance a-t-il agit ou s’était battu contre leurs intérêts fondamentaux ? La France a aidé l’Annam à devenir le Vietnam depuis le XVIIè siècle jusqu’à nos jours. Le fait-elle contre ses intérêts ? Le livre de Philippe Héduy, cité plus haut ne le montre-il pas clairement ?

De nos jours, ne faut-il pas d’abord connaître où se trouvent nos intérêts nationaux fondamentaux ? Nous venons d’en citer un certain nombre d’entre eux. Puis n’est-il pas important d’essayer de connaître les intérêts géostratégiques globaux de chaque grande puissance ? Cela ne veut pas dire qu’il faut s’opposer frontalement à chacune de ces grandes puissances quand nos intérêts ne coïncident pas aux siens. Mais le fait de les connaître est déjà un pas important pour orienter nos luttes.

Maintenant, certains de nos hommes politiques ont des relations privilégiées avec quelques grandes puissances. Pourquoi ne pas leur demander de nous aider à construire des routes pour améliorer les communications commerciales à l’intérieure du Cambodge par exemple ? Ou à nous aider à financer la traduction et la publication des livres de la culture mondiale, dont des livres de mathématiques, de sciences et techniques, dans notre langue ? Ou à nous aider à utiliser notre langue dans toutes les universités dans toutes les matières ? Ou à construire des centrales électriques pour que notre pays soit indépendant en énergie électrique ? Ou à construire une grande raffinerie de pétrole pour que le Cambodge ne soit plus tributaire de nos voisins pour l’essence par exemple ? Etc. Dans toutes ces constructions, pourquoi ne pas utiliser massivement et en priorité des intellectuels, des administrateurs, des ingénieurs, des techniciens Cambodgiens ? Quelles grandes puissances finances des lignes à haute tension en provenance du Laos, du Vietnam et de la Thailande, pour alimenter notre pays en énergie électrique ? Pourquoi utiliser, à 100 % des ingénieurs et techniciens Vietnamiens et Thaïs pour ces constructions ? Pourquoi les fils électriques et les pylônes viennent-ils aussi de nos deux voisins ? Pourquoi imposer à notre pays cette terrible dépendance totale en énergie électrique de nos voisins ? Qui nous construit des barrages hydroélectriques pour que cette dépendance ne soit pas totale ? Les réponses à ces questions ne sont-ils pas aussi, des possibilités de deviner les intérêts géostratégiques de certaines grandes puissances concernant notre pays et aussi concernant nos deux voisins ?

Qui construit certaines routes intérieures au Cambodge ? Ces routes sont aussi des moyens de communications faciles entre les habitants des villes et des campagnes ? Des moyens pour échanger des idées entre tous les habitants du pays ? La cadence actuelle de ces constructions, répond-t-elle à l’urgence pour rattraper notre très grand retard par rapport à nos voisins ? N’est-il pas possible d’accélérer la cadence pour répondre rapidement aux besoins de notre peuple ? Surtout les routes de Phnom Penh à tous nos villages et villes à nos frontières ? Et plus particulièrement la route vers Preah Vihear pour défendre notre monument historique et aussi pour désenclaver cette région de plus en plus dépendante économiquement et culturellement de la Thailande ?

En ce qui concerne les traductions, nous signalons qu’il y a la Finlande, ce pays qui a donné l’asile politique à des intellectuels Cambodgiens polyglottes de haut niveau, capables de traduire à livre ouvert de l’anglais en cambodgien. Pourquoi ne pas demander à la Finlande de nous aider à traduire et à publier des livres de la culture mondiale en cambodgien ? Par exemple pour permettre à notre peuple d’avoir de larges ouvertures vers le monde extérieur ? Par exemple un livre de l’histoire de la Finlande en cambodgien, n’est-il pas déjà un exemple à connaître ?

Pourquoi accepter passivement ce que l’on nous donne comme un mendiant ? Dans ce cas n’est-il pas déjà une traduction d’ignorance de nos intérêts nationaux fondamentaux et en même temps de manque de dignité ? Selon les réalisations de nos demandes, ne pouvons-nous pas, aussi, connaître certains intérêts géostratégiques fondamentaux de chacune de ces grandes puissances en ce qui concerne notre pays ? N’est-il pas curieux de constater que certains de nos hommes politiques continuent à accepter les aides de la Thailande et du Vietnam, malgré plus de deux siècles d’expériences amères ?

Dans les conditions actuelles, nos luttes contre la vietnamisation du Cambodge sont multiformes. Par exemple, au Cambodge, le peuple sait parfaitement que pour défendre Preah Vihear, la lutte politique est certes importante. Mais est-elle suffisante ? Pourquoi la route vers Preah Vihear est-elle toujours peu praticable ? Pourquoi Hoc Lundy a exigé le limogeage de Chea Sophara qui était en train de construire justement cette route ? Pourquoi laisser à la Thailande l’exclusivité de son exploitation touristique ? On annonce que cette route est actuellement en construction. Cette route est-elle réellement en construction ?

L’article ci-dessous, pour la première fois, révèle ce que n’avons cessé de réclamer depuis plus d’une décennie. Nous souhaitons que nos compatriotes le lisent attentivement et méditent sur les points soulevés.

Annexe :

CAMBODIA: Sees Opportunity in Rising Food Prices
By Andrew Nette

Cambodian farmer moving produce by bullock cart, a sign of poor investment in agriculture.

PHNOM PENH, May 19 (IPS) - Cambodian government sees opportunity for this impoverished country in the global rise in food prices that could help turn the fortunes for its agrarian economy.

But, while Khmer and foreign experts agree that there is considerable room for Cambodia to improve its production of rice, fruit, vegetables and other crops, they also say that the economic, physical and geographical challenges are huge.

Even if Cambodia can increase the production of crops like rice, doubts exist as to whether small-scale farmers are positioned well enough to take advantage of the situation.

Cham Prasidh, minister for commerce, told the English-language Cambodia Daily newspaper in early May that the food crisis provided an opportunity for the country to transform itself into one of the world’s rice bowls. "For Cambodia now, we see rice as gold," he was quoted as saying.

The minister said the increased value of foodstuffs, particularly rice, was moving the government to reconsider its economic strategy and place greater emphasis on agriculture. He said the government wanted to double the area under rice cultivation to five million hectares.

The government and donors are also pinning their hopes on agriculture as a way of alleviating endemic rural poverty. Eighty percent of Cambodia’s 14 million people live in rural areas, as also an estimated 90 percent of the country’s poor.

"We estimate that only 7 to 8 percent of (Cambodia’s) total rice production is traded on the international market," said Mahfuz Ahmed, Senior Agricultural Economist in the South-east Asia department of the Asian Development Bank (AsDB).

"An additional three million tonnes would make the country a major player in the rice market but first they have to improve quality and production."

"We have the potential to become a key supplier of rice on the world market after Thailand and Vietnam," said Yang Sang Koma, president of the Centre for the Study and Development of Cambodian Agriculture (CEDAC). "We might even be able to replace Vietnam, which has peaked in its capacity."

"It is realistic but they have to have clear policies. On the one hand they talk about Cambodia becoming a green basket, on the other they push industrial zones. What do they really want?"

The World Bank and other donors agree Cambodia needs to place more emphasis on agriculture, and point out that successful agricultural production in China and Vietnam acted as a stimulus for broader industrial and manufacturing growth.

It is generally accepted that Cambodia now grows more rice than it consumes, approximately 2 to 4 million tons per year and has done so since the mid-nineties.

Although land under cultivation has also increased over the last decade, surpassing 2.5 million hectares in 2006, according to figures from the ministry of agriculture, this is still amongst the lowest in the region.

According to AsDB’s Ahmed, the average amount produced hovers around 2.5 tons per hectare, with some farmers producing 3 tons, and most 1 to 1.5. This compares with Vietnam’s 4 kilos per hectare.

"Most farmers are poor and live from harvest to harvest. They are subsistence orientated and focused more on survival than increasing production,’’ Koma said.

Cambodia exported 1.48 million tons of milled rice during the 2007-2008 season, a figure the government wants to increase to 5 million, besides boosting production of crops such as soya beans, cashew and corn.

"Ten years ago they did not have enough food, so the fact that they export as much as they do is a considerable achievement," said Ahmed. "They could probably produce more and export it. The area currently under cultivation is still below that in the mid-sixties."

"The increased value of rice should be good for Cambodia," agreed Thomas Keustas, the World Food Programme’s country director in Cambodia. "The question is how much can the rice harvest increase given that the costs of inputs are also increasing.’’

Farmers are facing the full brunt of the inflationary pressures hitting Cambodia. Fertilizer has doubled in price, and fuel has increased by 6 to 7 per cent in the last six months.

But price rises are just one obstacle facing increased farm production. Others include lack of seed production, uncertain land tenure in much of the country, lack of technical information, and poor infrastructure such as roads and irrigation.

Lack of access by small-scale farmers to rural credit is a particularly pressing constraint. According to some figures, only four percent of loans from banks went to agriculture in 2007.

These barriers make it difficult for Cambodia to compete with the productivity of farmers in Thailand and Vietnam, where transport, fertilizer and pesticides are all cheaper.

"How do you compete with the sophistication of agricultural produces in Vietnam, where strawberries are picked and on the shelves of supermarkets in Phnom Penh in 24 hours?" said one long-term foreign observer. "People talk about buzz words like improving value chains. At the moment when it comes to agriculture all you have is a pile of links that no one has welded together."

"All these factors mean farmers are not well placed to take advantage of increased prices,’’ said the observer who did not wish to be named. ‘’They sell their crop after harvest because their production costs are so high compared to their revenue, much of it to Vietnamese and Thai traders who travel from farm gate to farm gate, within days of it being harvested."

AsDB’s Ahmed believes that storage facilities are important. "Small farmers cannot take advantage of the marketing realities unless they can hold onto their crop for 3 to 4 months rather than 60 days as is currently the case.’’

"Even if Cambodia can increase its rice harvest, any increased profitability is likely to be captured by middle men and their agents unless the farmer has some choice about who they sell to and when,’’ said Ahmed. "This bargaining power will only occur when they have greater access to storage facilities, roads, credit, and so on. At the moment the point at which they sell is the point at which the price is lowest."

The question now is, does the government have the political will to shift the balance of power across the board to increase the bargaining power of farmers?

While experts believe the government’s emphasis should now be on getting a good harvest next year, work is needed to ensure that farmers can take advantage of this.

"In the long term the question is whether enough resources can be mobilised and whether they can be delivered to the households that need them on time," said Ahmed. "Government alone cannot do this, it requires a joint effort with donors and NGOs."

"Physical facilities are important but it will not solve the problem on its own," argues CEDAC’s Koma, who works with farmers on marketing organically grown produce, including locally certified organic rice. "Our farmers are very subsistence oriented. We need time to develop more commercially oriented farmers."

"We also need to re-orient the people who work with the farmers, the extension workers and NGOs. They have a basic knowledge of agriculture, perhaps some community development experience but no business skills,’’ said Koma.

Cambodia’s potential can be gauged by the fact that large investors, including several private equity funds, are beginning to see opportunities in this country’s agricultural sector.

[1] Lire le texte intégral de cette Conférence dans
http://khemara-jati.blogspot.com/2008/03/la-minorit-cambodgienne-de-cochinchine.html

1 commentaires:

À 10:04 , Blogger khmerdefrance a dit...

bonjour,
pour etre succint, le peuple khmer , pour sortir de la domination vietnamienne (ou autre domination etrangere),doit absolument s'unir autour du GRC actuel qui est le seul gouvernement khmer legitime mené par notre samdech Hun Sen : le seul nationaliste à mes yeux capable de pacifier tout le pays.

En effet, il est a l'origine :
-de la chute du regime genocidaire des khmers rouges : PoL Pot, Nuon chea, famille Ieng Sary, khieu samphan, famille Thiounn, Ta Mok,...le 7 janvier 79 (grace entre autre à l'invasion vietnamienne),
-de la destruction progressive dans les années 90 des forces rebelles KR qui ne voulaient pas entrer dans la communauté,
-de la reconciliation nationale en faisant entrer Sihanouk au pays,
-du regime parlementaire et democratique actuel imposé par l'ONU où coexistent le PPC et les partis d'oppositions...
-de la liberté de la presse, des médias...
-du developpement economique avec reduction de la pauvreté significative,
-de la stabilité politico-economique a long terme...etc.
-de la grande union de tous les khmers autour de ce GRC (qui compte les opposants politiques).

En CC : c'est la seule voie pour que le cambodge puisse mener, mais non sans conséquences parfois dramatiques pour la population démunie, au developpement economique qui engendrera des richesses nationales où l'on est en train d'assister à une emergence de grandes entreprises khmeres proche des conglomerat. ces richesses pourra, ensuite, etre redistribuée dans divers secteurs d'activités tels que l'education, la santé,... le partage des richesses (=principe du vrai marxisme et non deviationniste des KR)
Mais comme une société idéale n'existant pas, et que le developpement ecconomique n'est pas vraiment de notre volonté (nous suivons globalement les pays plus developpés que le notre en s'integrant dans la mondialisation)...ce regime actuel ne peut pas etre pire que les anciens regimes de Lon Nol, des Khmers rouges...

Maintenant qu'il n'y a plus ces traitres KR, le cambodge retrouvera petit à petit la fierté d'appartenir à la race khmere grace au developpement induit par cette stabilité mener sous le GRC.

khmerdefrance

 

Publier un commentaire

S'abonner à Publier des commentaires [Atom]

<< Accueil