La défaite vietnamienne à Ô Smach
Nouvelles du Cambodge N° 0836-F
LA DÉFAITE VIETNAMIENNE À Ô SMACH
ET PREAH VIHEAR
Khemara Jati
Montréal, Québec
Le 2 août 2008
Durant la deuxième quinzaine de juillet 1997, In Thaddée était en Thailande pas loin d’O Smach. Hun Sen déclarait qu’O Smach allait tomber rapidement, qu’O Smach tiendrait au plus une semaine. Il avait une confiance absolue sur l’invincibilité de l’Armée Populaire du Vietnam (APV), en particulier sur ses Unités Spéciales de Choc. Cette opinion faisait presque l’unanimité dans les opinions internationale et nationale, y compris celle des Thaïs. Mais jour après jour, semaine après semaine, même après un mois, deux mois, O Smach tenait toujours. Finalement l’APV fut obligée de se retirer. Les Vietnamiens enveloppaient leurs morts par centaines (par milliers ?) dans des sacs en plastiques bourrés de sel avant de les expédier dans des camions vers le Vietnam. In Thaddée avait à l’époque, diffusé un bulletin d’information sur papier ayant pour titre Comité de Soutien aux Patriotes et Démocrates du Cambodge (COSOPADEC) avec des photocopies des câbles de presses internationales et des extraits de journaux.
Nous citons des câbles de la presse internationale, les décisions des grandes puissances et l’opinion des hommes politiques publiées dans COSOPADEC, pour montrer l’ampleur de la grande victoire mémorable des armes cambodgienne à O Smach, sur la fameuse APV, prétendue invincible. Cette victoire a aussi des répercussions dans l’opinion thaïe et au sein même de la direction du PPC. Laissons parler les faits.
Après le coup d’Etat barbare et sanguinaire entrepris le samedi 5 juillet 1997 par l’APV, personne au monde ne pouvait prévoir la défaite de l’APV, réputée l’armée la plus forte, et de loin, du Sud-Est Asiatique, même qualifiée d’invincible, face à une petite armée du Funcinpec, et une armée de paysans habillés de loques et avec des armes démodées.
L’intervention massive de l’APV était confirmée par les Cambodgiens sur place et aussi par les témoignages des étrangers présents à Phnom Penh. Mais ce n’étaient que des témoignages privés. Ces étrangers ne veulent pas avoir à affronter l’hostilité des grandes puissances. Nous citons cependant Ranariddh : “The Vietnamese soldiers are supporting Cambodia’s new strongman, (former communist, Hun Sen, it was claimed by Prince Norodom Ranariddh, the former co-prime minister of the kingdom, in an interview granted to Radio France International today. Friday [15 august] “We now have plenty of evidence of the Vietnamese presence (in Cambodia). There are Vietnamese tank crews, in particular, soldiers and even police,” said Prince Ranariddh. “It is not entirely coincidental that Hun Sen was in Vietnam on holiday with his children on the day before the coup d’etat”, He emphasized.” Paris, 15 August (AFP)
Les Cambodgiens, où qu’ils se trouvassent, furent unanimes pour condamner ce coup d’Etat. Manifestations et réunions s’organisèrent, un peu partout dans le monde, suivies de résolutions et des appels. Ce fut un formidable sursaut de la solidarité national. La décision finale se trouve sur le terrain, sur le sort des armes, sur la bataille d’O Smach. Les Cambodgiens sont invincibles quand ils sont unis.
· Jeudi 10 juillet 1997 : le journal français « La Croix » : « Paris et Washington ne parlent pas de « coup d’Etat » au Cambodge… mardi, les Etats-Unis et la France ont condamné « le recours à la force » de Hun Sen tout en refusant de parler de coup d’Etat …Un millier de ressortissants étrangers ont été évacués sans dommage de Phnom Penh. »
· Dimanche 20 juillet 1997, Reuter : les Nations Unies publient sur les tortures barbares commises dans les centres de détention et plus tard sur les morts défigurés, en particulier des généraux du Funcinpec et de Ho Sok en particulier
· Lundi 28 juillet 1997 : Washington Post publie un article de Nate Thayer sous le titre : « Les Cambodgiens décrivent les atrocités commises par les forces de Hun Sen et se déclarent déterminer à résister (traduction de In Thaddée).
· Vendredi 8 août 1997, Washington, Reuter : « Les Etats-Unis prêts à négocier avec le nouveau Premier ministre du Cambodge ».
· Samedi 9 août 1997 (AFP) – « L’émissaire américain Desaix Anderson devait rencontrer samedi (9 août) à Phnom Penh le nouveau co-Premier ministre Ung Huot, un reconnaissance de facto le gouvernement issu du récent coup de force, en dépit des réserves exprimées publiquement à Washington, selon les annalistes. »
· Jeudi 14 août 1997, Phnom Penh, Reuter « Sihanouk nie avoir approuvé le remplacement de son fils ( Norodom Ranariddh par le fantoche Ung Huot)».
· Lundi 18 août, Reuter 15h48, heure de Paris par Sutin Wannabovorn :
« Les forces gouvernementales (vietnamiennes en réalité) du Cambodge sont entrées lundi dans O Smach, dernier bastion des forces royalistes du prince Norodom Ranariddh, mais ne contrôlent pas encore toute la ville, ont rapporté des gradés à Phnom Penh.
Les troupes gouvernementales se sont emparées de la moitié sud de O Smach » a déclaré le général Meas Sophear, qui dirige (nominalement) les opérations de combat depuis la capitale.
« Nous n’avons pas encore pris la ville, mais nous espérons le faire d’ici demain » a-t-il dit, ajoutant que la forêt dense, les mines et la malaria avaient rendu difficile la progression.
« En revanche les Khmers rouges, venus renforcer les troupes royalistes du prince déchu Norodom Ranariddh ont affirmé avoir repoussé les forces gouvernementales jusqu’à Phong, à 12 km au sud d’O Smach. Les Khmers rouges disent également avoir détruite une batterie d’artillerie gouvernementale et tués 70 soldats dans une ville voisine, Krong Kriel, à 25 km au sud d’O Smach. »
· 19 août 1997 (Reuter - Phnom Penh) : « Le dirigeant cambodgien Hun Sen a menacé de démissionner de son puissant parti politique si ses membres ne le suivaient pas dans ses décisions. Le second Premier ministre Hun sen, qui est vice-président du Parti du Peuple Cambodgien (PPC) a averti que sans lui, le parti courait à sa perte.
« Je quitterai le parti si vous ne (me) suivez pas, et si je quitte le PPC, vous vous casserez la figure, car vous avez besoin du soutien de Hun Sen » a-t-il déclaré dans un discours diffusé à la radio d’Etat.
Le discours de Hun Sen semble être destiné à couper court à d’éventuelles dissensions au sein de l’ex-parti communiste PPC. »
Ce discours montre que le PPC n’était pas unanime pour accepter le coup d’Etat imposé par Hanoi avec l’utilisation massive des unités entières de l’APV. Cela montre aussi que Hanoi n’a plus les moyens de limoger les opposants à sa domination du Cambodge. Rappelons que Hanoi a pu limoger 85 membres du Comité Central du PPC, lors du Congrès de ce parti janvier 1997. Il est certain que ces 85 membres du Comité Central du PPC sont des opposants à la domination vietnamienne sur notre pays. Combien de ces anciens membres ont-t-ils été liquidés lors du coup d’Etat ? Combien d’officiers, dont des généraux, cambodgiens du PPC ont-t-ils été liquidés lors de ce coup d’Etat ? Le coup d’Etat du 5 juillet 1997, était-il destiné à détruire l’armée du Funcinpec seulement ? N’est-il pas, aussi, une occasion pour éliminer les récalcitrants parmi les hauts dignitaires du PPC ? Tout le monde sait un opposant éliminé, dix autres se lèvent pour le remplacer.
La défaite de l’APV devant O Smach ne montre-t-elle pas que la domination militaire des Vietnamiens sur le Cambodge a trouvé ses limites ?
· Le 24 août 1997, Sam Rainsy, après une visite à O Smach, fait la déclaration suivante, sous le titre :
« O Smach, symbol of a heroic resistance », en conclusion :
« O Smach may fall any time because event steel can be pierced. But there are likely to be many other O Smach all over Cambodia which will show the determination of the Cambodian people to resist tyranny. The light of O Smach will continue to shine in millions of hearts. The spirit of O Smach will inspire generations of freedom fighters and justice loving people. »
· Lundi 8 septembre 1997, Reuter, Manille, Philippines : « Les Etats-Unis font pression pour des élections libres et démocratiques au Cambodge ».
Ainsi les Etats-Unis ne croyaient plus à la victoire de l’APV à O Smach.
· 12 septembre 1997, Chakraval (en cambodgien, traduction par Cosopadec)
« Selon un rapport en date du 12 septembre 1997, Samdech Chea Sim, président de l’assemblée nationale, issu du PPC, a accepté d’accorder des passeports à cinq chefs militaires séditieux afin qu’ils puissent s’exiler. Il s’agit de ceux qui dirigent (officiellement) actuellement les forces de résistance pro-Ranariddh combattant l’armée du gouvernement royal (APV en réalité) à O Smach.
« Samdech Chea Sim a délivré des passeports à Nhiek Bun Chhay, Serei Kosal, Khan Savoeun, Lai Virak, ainsi qu’à un général Khmer Rouge.
[…]
Samdech Chea Sim avait donné son accord, le 7 septembre 1997.
[…]
L’acte de Chea Sim d’accorder des passeports aux quatre commandants séditieux a été décrit comme une interférence flagrante dans les affaires du gouvernement royal. »
· 14 septembre 1997, Reaksmei Kampuchea, en cambodgien, traduction de Cosopadec :
« At a recent cabinet meeting, the council of Ministers proposed that the minister of economy and finance consider the transfer or replacement of Sarak Khan, Ministry of Economy and Finance permanent secretary and adviser to (National Assembly Chairman) Samdech Chea Sim. “Intervention from another upper echelon circle is said to have blocked the proposal later.”
C’est une preuve officielle que Hanoi ne pouvait plus dicter ses décisions, ni d’émettre certaines hautes personnalités selon son bon vouloir.
· Vendredi 19 septembre 1997 : l’ONU décide de laisser vacant le siège du Cambodge.
· Mardi 23 septembre 1997, Phnom Penh, Reuter : « Le fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale (BM) ont suspendu pour une durée indéterminée leur soutien financier au Cambodge. »
Durant cette bataille, les Thaïs faisaient tous leurs possibles pour faciliter le ravitaillement d’O Smach, en armes, munitions et vivres. On sent que les Thaïs avaient peur d’avoir l’APV à leurs frontières. Car la défaite d’O Smach, signifierait la domination totale du Cambodge par Hanoi comme durant les années 1980, avec l’APV, en permanence à leurs frontières.
Les Cambodgiens avaient l’avantage du terrain. O Smach se trouve à la frontière thailandaise. De ce fait l’APV ne pouvait pas l’encercler. Il fallait prendre O Smach par le Sud en traversant les champs de mines, après des bombardements intensifs à l’artillerie lourde. Les tanks sont peu utilisables. Seuls les assauts massifs des unités de choc pourraient prendre O Smach. Le monde entier, y compris 99,99 % des Cambodgiens à l’étranger, principalement, ne faisaient aucune confiance à des possibilités de la défaite de l’APV à O Smach. A un moment donné et à plusieurs reprises les Vietnamiens obligeaient des enfants cambodgiens, après les avoir enivrés d’alcool, à avancer devant eux, se faire sauter sur les mines devant les yeux horrifiés et bouleversés des défenseurs d’O Smach. En vain. Les Vietnamiens mouraient pour centaines voire plus d’un millier, devant O Smach.
La défaite des meilleures unités de l’APV devant O Smach, fait ressortir les divisions au sein du PPC.
· Saturday September 27, 1997, Bangkok Post : “Hun Sen troops defecting. Us issues warning as rift in CPP rumored. Phnom Penh Agencies.
“Nearly 500 Cambodians government soldiers under strongman Hun Sen defected to opposition forces loyal to deposed co-premier Prince Norodom Ranariddh, the prince said in an interview published yesterday.
“I Think that now the Military activities are growing,” He told the Cambodia Daily newspaper in New York.
“The prince is lobbying for international pressure against Hun Sen on the sidelines of the United Nations General Assembly session.”
· Mercredi 8 octobre 1997 : Déclaration du porte parole du ministère (français) des Affaires étrangères : « Le ministre Hubert Védrine (du gouvernement Jospin formé en juin 1997) a reçu hier soir à 17h00 M. Ung Huot, Premier premier ministre et M. Hun Sen, deuxième Premier ministre, qui étaient en France à titre privé. »
Etait-ce, aussi, pour préserver les possibilités pour la compagnie pétrolière française Total de l’octroi d’un permis de recherche du pétrole sous notre plateau continental ? La compagnie Elf-Aquitaine, maintenant absorbée par Total, connaissait bien les possibilités de ressources pétrolières du Cambodge, pour les avoir exploré avant les événements de 1970. Et aussi pour ne pas trop mécontenter le Vietnam ?
· Dimanche 12 octobre 1997 : les forces vietnamiennes se retirent d’O Smach, discrètement mais honteusement. D’après nos compatriotes sur place il y aurait au bas mot 1 000 vietnamiens tués devant O Smach. Ce nombre pouvant dépasser largement ce chiffre. Les Vietnamiens transportaient les cadavres de leurs soldats et officiers au Vietnam, emballés dans des sacs en plastiques bourrés de sel, après, peut-être, leur avoir injecté des produits comme le formol. On comptait des centaines de camions transportant ces cadavres. Les héros d’O Smach vivent maintenant au Nord et au Nord-Est du Cambodge, à la frontière thaïlandaise. Pour avoir plus d’informations sur la victoire d’O Smach, il faudrait aller interviewer très discrètement ces héros d’O Smach et leur famille. Certains vétérans, à Preah Vihear, montent maintenant la garde à Preah Vihear, prêts à se battre contre les soldats Thaïs qui connaissent leur valeur sur les champs de bataille, en particulier à O Smach. Le moral joue aussi en faveur des Cambodgiens : les Thaïs sont des envahisseurs, ils le savent comme l’opinion mondiale. Les Cambodgiens défendent leur pays.
Dans la bataille d’O Smach, du côté Cambodgien, pour la première fois on note la mort du général Funcinpec Nuon Vanna sur le champ d’honneur. Il y a d’autres officiers supérieurs du Funcinpec, morts aussi sur ce champ d’honneur. Plusieurs généraux et officiers du Funcinpec refusaient de rentrer au Cambodge.
Désormais Hanoi ne peut plus imposer totalement sa volonté sur le Cambodge.
Ainsi, militairement, les Vietnamiens n’ont jamais pu vaincre les Cambodgiens, à O Smach comme lors du règne de la fantoche Ang Mei, durant la première moitié du XIXè siècle. La victoire sur les armées de la cour de Huê, a porté Ang Duong au pouvoir. Lire une histoire intéressante de cette guerre de libération dans « Histoire du Cambodge » d’Adhémard Leclère pages 448 à 462. Rappelons que les troupes envoyées par la cour de Huê au Cambodge étaient armées et entraînées à la manière française par les officiers français de Monseigneur de Béhaine, qui ont aidé puissamment Gia Long à vaincre la rébellion des Tay Son[1]. Alors que durant cette première guerre de libération, de notre côté, nos héros se battaient principalement avec des armes blanches avec des méthodes traditionnelles de combat.
Il faut cependant se rappeler que Adhémard Leclère aimait le Cambodge et les Cambodgiens, mais il était aussi un administrateur colonial français. Il était compréhensible qu’il écrivisse notre histoire, après la victoire d’Ang Duong, en sorte, que le Protectorat français sur le Cambodge fusse dans l’intérêt du Cambodge, alors qu’il était fondamentalement dans l’intérêt de la France : faire du Cambodge un arrière pays pour exporter nos produits dans le but de développer le commerce internationale par le nouveau port de Saigon[2]. Il est important de savoir que la conquête de Saigon et surtout la « pacification » des régions habitées par des Vietnamiens, se faisaient avec les aides des Cambodgiens du Kampuchea Krom et aussi celles d’une armée cambodgienne commandée par le général Kaep, envoyée par Ang Duong[3]. Nous reviendrons plus en détail sur cette question, dans un autre article.)
En ce qui concerne la victoire d’Ang Duong sur les Vietnamiens, nous citons un historien vietnamien très connu :
« Le Cambodge ne resta pas en paix. Des troubles civils y ramenèrent Siamois et Vietnamiens appelés par l’un ou l’autre des princes khmers qui s’affrontaient. Pour prix de leur « aide », les Siamois occupèrent en 1814 des provinces de Tonlé Repou, Stung Treng et Mlu Prey, tandis que Minh-mang, en 1834, chercha même à annexer le pays. Il en fit la province de Trân-tây thành, divisée en 32 phu et 2 huyên. La politique d’assimilation commença aussitôt : nomination de fonctionnaires civil et militaire, ouverture d’écoles vietnamiennes, contrôle du commerce, cadastre des terres, levée d’impôts sur les inscrits, les rizières, les barques et les produits locaux. Mais les abus auxquels se livrèrent les mandarins dressèrent le Cambodge contre l’envahisseur. Le frère d’Ang Chan, Ang Duong (Ong Dôn) prit la tête de la résistance avec l’aide du Siam, et mena une dure guérilla. Après la mort de Minh-mang, Thiêu-tri, renonçant au Trân-tây thành retira ses troupes (1841). Cette brève tentative d’annexion du Cambodge, coûteuse en hommes et en matériel, se soldait ainsi par un échec. Mais la décision de Thiêu-tri était sage. »[4]
Durant la bataille d’O Smach, Khemara Jati était un des rares et probablement le seul, dès le début, à avoir une confiance absolue sur la victoire de nos armes sur la puissante et réputée invincible Armée Populaire du Vietnam. Parce que dans notre histoire depuis le milieu du XIXè siècle, les Cambodgiens sont invincibles quand ils sont unis devant le ou les ennemis. Ce qui était le cas durant guerre de libération nationale menée par Ang Duong, c’est le cas maintenant durant la bataille d’O Smach. Dans la bataille d’O Smach, il y avait peut-être des doutes de la part de nos compatriotes, mais aucune voix contre.
Maintenant, face à la fois aux Vietnamiens et aux Thaïlandais, comment renforcer notre unité nationale durablement et notre volonté de lutter ensemble contre ces menaces ?
(... à suivre)
[1] Lire « Histoire de l’Indochine, la Perle de l’Empire 1624 – 1954 » par Philippe Héduy, ed Albin Michel, Paris 1998, c’est une histoire principalement du Vietnam.
[2] Lire « Bordeaux et la Cochinchine sous la Restauration et le Second Empire » par Etienne Denis, édition privée janvier 1965, c’est un récit très intéressant concernant le point de vue d’un des premiers commerçants installés à Saigon.
[3] « La frontière entre le Cambodge et le Vietnam du XVIIIè siècle à l’instauration du protectorat français présentée à travers les chroniques royales khmères » par Mak Phoeun, article dans « Les Frontières du Vietnam » sous la direction de P. B. Lafont, ed. L’Harmattan, Paris 1989).
[4] « Histoire du Vietnam » par Lê Thành Khôi, Ed Sudestasie, Paris 1992, p. 363
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